Une douce tonalité. Le baume du pardon recouvre ce récit autobiographique d'une descente addictive dans les caves de Bacchus. Elle fut longue et empreinte de souffrance. Puis la remontée progressive pour « trouver le bonheur et pas seulement la sobriété ».
A la recherche du pourquoi. Pourquoi avoir bu comme le père ?
Comment sortir de l'état de malade et de victime ? L'auteur a trouvé le pourquoi et le comment :. Cette sortie s'est accompagnée de la traversée de ressentis de colère et d'injustice, et d'un séjour dans l'antichambre de la mort... Avant que la paix et le bonheur puissent s'installer de façon durable.
Qu'y-a-t-il à pardonner et qui est pardonné ? Qui dit pardon dit faute et culpabilité. Vous le découvrez.
Alternance de récit de vie et de prise de conscience éclairante et salvatrice. Comme si ces éclairs successifs mis bout à bout éclairaient la conscience de l'auteur d'un jour nouveau et dégageaient son ciel obscurci par las vapeurs d'alcool.
Parmi les solutions thérapeutiques : l'écriture. Quand on n'a plus rien, il reste cette formidable possibilité d'écrire, écrire pour exprimer ce qui jusque là était indicible, écrire pour se libérer, écrire pour contribuer à se soigner, écrire pour transmettre l'héritage de l'être, le « qui je suis » à sa filiation. Pour cela l'auteur a choisi d'arrêter toute activité et de s'installer dans le silence. S'abandonner à une sorte de méditation "re-créative" de l'être, laisser s'exprimer l'essentiel, écouter ce que la voix profonde de l'âme murmure, souvent avec des mots simples. Contacter le grand « Soi » et le laisser parler au petit « moi » pour l'aider à grandir.